Notes
- Idée de base : tout point est l'essence des autres
points.
- Le but, c'est de penser par soi-même.
- Les cultures expriment un besoin mais sont construites
sur la même essence de l'humanité. Toute proposition de
définir cette essence est une nouvelle philosophie, qui
à la base sera forcément biaisée. Ce que l'on cherche
à faire, c'est s'approcher le plus possible "du
centre". Il faut donc éviter toute référence
culturelle.
- Ce n'est pas un schéma de vie, c'est un schéma
relationnel d'informations.
- On a l'habitude de penser sans réfléchir à l'outil
qu'on utilise pour penser. On est limité par la pensée
!
- Un schéma des processus de pensée à éviter :
fragmentation, quantification, perte de sensibilité.
- On est limités par les capacités dont la nature nous a
dotés (par exemple : on n'utilise que 10% de notre
cerveau), et on élabore donc notre réflexion dans le
cadre de ces limites.
- Processus de pensée paradoxale : "ceci est un arbre
- ceci n'est pas un arbre - tout en étant quand même un
arbre - ceci n'est pourtant pas un arbre, etc" .
C'est dans le mouvement entre les deux affirmations
paradoxales que nait la création.
- Le couple, c'est l'essence de l'humanité. Car chacun de
nous est l'essence de l'humanité, mais la rencontre des
deux sexes rend plus complète encore cette essence.
- Il n'y a rien concernant la "célébration"
=> faut-il l'intégrer ? Jean-Pierre, lorsqu'il
parvenait à un état de compréhension avec autrui,
avait pour coutume d'embrasser la personne.
- Bien et mal : cf dans René Egli, le yin et le yang =
"le bien autant que le mal", = "unicité
du bien et du mal". Ne peut-on pas parler d'une
"unicité paradoxale" (cf pensée paradoxale)
que l'on peut étendre à l'être humain lui-même ?
- Où est le corporel, le sexuel, la maladie ? Est-on libre
par rapport à ces sujets ?
- Actu : Groupements d'intérêt = Corporatismes
(Poujadisme)
- Jacques : "Il s'agit d'un système déiste" (~
perfection du monde) => mégalo !
- Jacques : "La catharsis (d'Aristote à Freud) = si
tu as trouvé l'essence du problème, il disparaît"
(cf abréaction = "se libérer de ses affects")
- Jacques : "Chez les catholiques, le bonheur n'existe
pas sur Terre, et même, il faut souffrir sur Terre pour
avoir le bonheur au Ciel"
- Jacques : "Aujourd'hui, on considère que le
bonheur, c'est de vivre longtemps"
http://spt01.chez.tiscali.fr/home.htm
02/02/2003